The Dial de E.E. Cummings est une revue littéraire emblématique qui a marqué l’histoire de la littérature américaine. Fondée en 1920 par Scofield Thayer et Cummings lui-même, cette publication a été le lieu de rencontre de nombreux écrivains et artistes de renom tels que T.S. Eliot, William Butler Yeats, Marianne Moore, James Joyce et Pablo Picasso. Dans cet article, nous allons explorer l’histoire de The Dial et son influence sur le monde de la littérature.
Contexte historique de The Dial
The Dial était une revue littéraire américaine qui a été publiée de 1840 à 1929. Elle a été fondée par Margaret Fuller, Ralph Waldo Emerson et d’autres écrivains et intellectuels de l’époque. La revue était connue pour son engagement en faveur de la littérature et de la culture américaines, ainsi que pour son soutien aux mouvements de réforme sociale et politique. Au fil des ans, The Dial a publié des contributions de certains des écrivains les plus célèbres de l’époque, tels que Henry David Thoreau, Walt Whitman et Emily Dickinson. En 1920, E.E. Cummings a commencé à publier ses poèmes dans The Dial, ce qui a contribué à faire connaître son travail à un public plus large. The Dial a été une influence majeure sur la littérature américaine et continue d’être étudiée et appréciée par les chercheurs et les amateurs de littérature aujourd’hui.
Les fondateurs de The Dial
The Dial a été fondé en 1840 par Margaret Fuller, Ralph Waldo Emerson et George Ripley. Cette revue littéraire emblématique a été créée dans le but de promouvoir les idées transcendentalistes et de fournir une plateforme pour les écrivains et les penseurs de l’époque. Fuller, Emerson et Ripley ont tous joué un rôle important dans le mouvement transcendentaliste, qui prônait l’individualisme, la spiritualité et la nature. The Dial a publié des œuvres de certains des écrivains les plus célèbres de l’époque, tels que Henry David Thoreau, Walt Whitman et Emily Dickinson. La revue a également été un lieu de débat et de discussion pour les idées philosophiques et politiques de l’époque. Les fondateurs de The Dial ont créé une publication qui a eu un impact durable sur la littérature et la pensée américaines.
Les écrivains publiés dans The Dial
The Dial a publié certains des écrivains les plus influents de son époque, notamment T.S. Eliot, Ezra Pound, William Butler Yeats et James Joyce. La revue a également présenté des poètes et des écrivains américains tels que Robert Frost, Edna St. Vincent Millay et Sherwood Anderson. Les contributions de ces auteurs ont contribué à faire de The Dial une publication littéraire de premier plan, reconnue pour son engagement en faveur de l’art et de la littérature modernes.
Les thèmes abordés dans The Dial
The Dial, une revue littéraire emblématique, a abordé une variété de thèmes tout au long de sa publication. Les écrivains et les poètes qui ont contribué à la revue ont exploré des sujets tels que la nature, la spiritualité, la politique, l’art et la culture. La revue a également été un lieu de débat et de discussion sur des questions sociales et politiques importantes de l’époque, telles que la guerre, le féminisme et le mouvement des droits civiques. Les thèmes abordés dans The Dial ont influencé la littérature et la pensée américaines, et ont contribué à façonner la culture intellectuelle de l’époque.
Les critiques littéraires de The Dial
Les critiques littéraires de The Dial ont joué un rôle important dans la reconnaissance de cette revue comme une publication littéraire de premier plan. Parmi les critiques les plus influents, on peut citer Edmund Wilson, qui a écrit pour The Dial pendant plusieurs années et a contribué à façonner l’orientation de la revue. Wilson a été particulièrement intéressé par les écrivains modernistes tels que T.S. Eliot et James Joyce, et a encouragé The Dial à publier des œuvres de ces auteurs. D’autres critiques notables de The Dial incluent Malcolm Cowley, qui a écrit sur les écrivains de la génération perdue, et Marianne Moore, qui a contribué à la section de poésie de la revue. Ensemble, ces critiques ont aidé à établir The Dial comme une publication littéraire de premier plan, et ont contribué à façonner le paysage littéraire américain au cours des années 1920 et 1930.
Les illustrations et les photographies dans The Dial
Les illustrations et les photographies ont joué un rôle important dans The Dial. La revue a publié des œuvres d’artistes tels que Pablo Picasso, Henri Matisse et Georgia O’Keeffe, ainsi que des photographies de Man Ray et Edward Steichen. Les illustrations ont souvent été utilisées pour accompagner les poèmes et les essais, créant ainsi une expérience visuelle complète pour les lecteurs. Les photographies ont également été utilisées pour documenter les événements culturels de l’époque, tels que les expositions d’art et les performances de théâtre. En intégrant des illustrations et des photographies dans ses pages, The Dial a contribué à élargir la portée de la revue et à la rendre plus accessible à un public plus large.
La fin de The Dial
La fin de The Dial a été un moment difficile pour les écrivains et les lecteurs qui ont suivi cette revue littéraire emblématique. Après plus de 70 ans de publication, The Dial a cessé de paraître en 1929 en raison de difficultés financières. Cette fin a été un coup dur pour les écrivains qui ont publié dans la revue, tels que T.S. Eliot, Ezra Pound et William Butler Yeats, ainsi que pour les lecteurs qui ont apprécié la qualité de la littérature publiée dans ses pages. Bien que The Dial ait été éphémère, son impact sur la littérature américaine et internationale est indéniable.
L’héritage de The Dial dans la littérature américaine
L’héritage de The Dial dans la littérature américaine est indéniable. Cette revue littéraire emblématique a été un tremplin pour de nombreux écrivains et poètes américains, tels que T.S. Eliot, Ezra Pound, William Butler Yeats et bien d’autres. The Dial a été fondé en 1880 par Francis Fisher Browne et a été publié jusqu’en 1929. Pendant ses 49 années d’existence, la revue a été un lieu de rencontre pour les écrivains, les poètes et les intellectuels de l’époque. Elle a été un lieu de débat et de discussion sur les questions sociales, politiques et culturelles de l’époque. The Dial a également été un lieu de publication pour les écrivains et les poètes émergents, leur offrant une plateforme pour partager leur travail avec un public plus large. Aujourd’hui, l’héritage de The Dial se poursuit dans la littérature américaine, avec de nombreux écrivains et poètes qui continuent de s’inspirer de cette revue emblématique.